Revenant sur l'idée reçue selon laquelle l'Occident n'aurait découvert le savoir grec au Moyen Age qu'au travers des traductions arabes, ce livre montre que l'Europe a toujours maintenu ses contacts avec le monde grec. Le Mont-Saint-Michel constituerait en effet le centre d'un actif travail de traduction, notamment d'Aristote, dès le XIIe siècle.